Au grand dam de mon compagnon, lorsque je vais au supermarché, je n’y vais pas pour faire les courses. J’y vais pour regarder les packagings.
C’est d’autant plus vrai à l’étranger où je découvre de nouvelles marques et donc de nouveaux emballages (#cestnoel!).
Les supermarchés sont pour moi une espèce de catalogue La Redoute du design. Il y en a pour tous les gouts, tous les prix, toutes les tailles. Du packaging en carton recyclé, en passant par les transparents en plastique, jusqu'aux boîtes de conserves avec juste du texte.
Le design alimentaire est l’un des plus passionnants, tant la compétition est rude et personne ne peut y échapper. À moins que vous ne soyez totalement autonome pour vous nourrir avec un potager, etc, tout le monde a au moins mis une fois un pied dans un supermarché (sauf le roi Charles III).
La guerre pour attirer notre attention fait rage, il faut être voyant, mais pas agressif, montrer quel genre de produit est à l’intérieur, lister les bienfaits, faire de la place pour tous les ingrédients et les mentions obligatoires (et il y en a beaucoup dans ce domaine).
Une chose que j’ai pourtant remarquée, c'est qu’il existe deux catégories de packagings. Les classiques qui ont quelques variantes, mais généralement, on voit : nom de la marque, désignation et photo du produit si le packaging n’est pas transparent.
Et les autres, ceux que j’appelle les packaging hipsters. |