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Couteau suisse, équilibre & 
morning routine

Un des trucs les plus compliqués à gérer quand on est indépendante, c'est l’équilibre vie pro, vie perso. Quand on est à son compte, on est un peu comme une femme orchestre. On est au four et au moulin, on fait le job de 5 personnes à la fois parce qu'on est une team à nous toutes seule. Sauf que parfois la plus petite lame du couteau suisse que nous sommes, c’est la lame du perso (promis, j’arrête les métaphores).

Lorsque j'ai commencé mon aventure entrepreneuriale, j'ai rapidement réalisé à quel point il était important de trouver cet équilibre pour préserver ma santé et mon bien-être. Au début, il était difficile de savoir où poser la limite entre mon activité professionnelle et ma vie personnelle. J'étais constamment en train de me dire : "Je fais encore ça et ça, et après, j’arrête.” Ou alors, on a justement la tête dans le guidon et quand on lève les yeux, il est 23h et on a passé la journée à bosser.

Quand on est passionnée par ce qu'on fait, je ne sais pas si on atteint un jour l'équilibre 50/50. Parce que le pro peut se mêler au perso et devient un peu notre vie entière. On n'a plus deux vies, on a une seule vie. Et ça convient pendant un certain temps. On est ravi de faire ce qu'on fait, notamment si en plus, on n'a personne à charge, d'enfants, etc. Ça devient le centre de notre univers.

Moi, le fait que je partage ma vie entre la France et l'Irlande, fait que mon équilibre vie pro-vie perso est un peu différent. Quand je suis à Paris, je suis à 80 % entrepreneuse. Je bosse beaucoup, parce que je sors peu et que ma seule distraction, à part Netflix et compagnie, c'est un apéro de temps en temps et voir ma famille et mes nièces le dimanche. Mais à part ça, je suis assez focus boulot, ce qui fait que je peux avoir des journées assez longues.

En revanche, quand je suis en Irlande, je rejoins mon compagnon et sa fille, ce qui fait que j'ai une vie de famille. Donc moi qui suis quelqu'un qui bosse plutôt l'après-midi et la nuit, mon planning se trouve un peu bousculé.

Mon équilibre vie perso-vie pro est un peu imposé, par l'emploi du temps et les besoins d'autres personnes. Ça me force tout simplement à revoir mes priorités.

Un des trucs les plus compliqués à gérer quand on est indépendante, c'est l’équilibre vie pro, vie perso. Quand on est à son compte, on est un peu comme une femme orchestre. On est au four et au moulin, on fait le job de 5 personnes à la fois parce qu'on est une team à nous toutes seule. Sauf que parfois la plus petite lame du couteau suisse que nous sommes, c’est la lame du perso (promis, j’arrête les métaphores).

Lorsque j'ai commencé mon aventure entrepreneuriale, j'ai rapidement réalisé à quel point il était important de trouver cet équilibre pour préserver ma santé et mon bien-être. Au début, il était difficile de savoir où poser la limite entre mon activité professionnelle et ma vie personnelle. J'étais constamment en train de me dire : "Je fais encore ça et ça, et après, j’arrête.” Ou alors, on a justement la tête dans le guidon et quand on lève les yeux, il est 23h et on a passé la journée à bosser.

Quand on est passionnée par ce qu'on fait, je ne sais pas si on atteint un jour l'équilibre 50/50. Parce que le pro peut se mêler au perso et devient un peu notre vie entière. On n'a plus deux vies, on a une seule vie. Et ça convient pendant un certain temps. On est ravi de faire ce qu'on fait, notamment si en plus, on n'a personne à charge, d'enfants, etc. Ça devient le centre de notre univers.

Moi, le fait que je partage ma vie entre la France et l'Irlande, fait que mon équilibre vie pro-vie perso est un peu différent. Quand je suis à Paris, je suis à 80 % entrepreneuse. Je bosse beaucoup, parce que je sors peu et que ma seule distraction, à part Netflix et compagnie, c'est un apéro de temps en temps et voir ma famille et mes nièces le dimanche. Mais à part ça, je suis assez focus boulot, ce qui fait que je peux avoir des journées assez longues.

En revanche, quand je suis en Irlande, je rejoins mon compagnon et sa fille, ce qui fait que j'ai une vie de famille. Donc moi qui suis quelqu'un qui bosse plutôt l'après-midi et la nuit, mon planning se trouve un peu bousculé.

Mon équilibre vie perso-vie pro est un peu imposé, par l'emploi du temps et les besoins d'autres personnes. Ça me force tout simplement à revoir mes priorités.

Mais une des choses les plus importantes pour moi, c'est d'avoir des rituels ou des routines. Tout le monde en parle ou en a entendu parler. Beaucoup en pratique. Ma morning routine, n'étant pas une personne du matin de base, elle commence à 8h, elle ne commence pas à 6h. À 6h, je dors. Elle est pareille que je sois à Paris ou en Irlande, sauf qu'elle a une heure de décalage. Je me lève une heure plus tôt en Irlande par rapport à la France, parce que je me suis fait réveiller par le réveil de mon compagnon et aussi, parce que de toute façon, il y a une heure de décalage entre l'Irlande et la France, et que je souhaite être à mon bureau à 10h30 heure française.

La première chose que je fais une fois levée, c'est du sport. Ici, j'ai la chance de pouvoir courir au bord de la mer. Ou alors, ça peut être du sport à la maison. Ensuite, le classique douche, petit-déj, et je me mets au boulot. Parfois, je tente le combo, méditation, affirmations, journaling, mais je n’arrive pas à m’y tenir régulièrement et je n’ai pas vu de différence fulgurante les jours où je les pratique, donc bon…
Et enfin, ma playlist du matin dit à mon cerveau que ça y est, c'est l'heure de bosser.

Le soir à Paris, je vais bosser jusqu'à l'heure du dîner, dîner et préparer mon déjeuner du lendemain (je déteste cuisiner à midi, je trouve que ça fait perdre du temps). Et une fois le fil à mon compagnon passé, je me remets au boulot. Généralement, jusqu'à ce que j'en aie marre ou que je sois fatiguée.

Quand je suis en Irlande, la fin de ma journée de boulot sonne quand mon compagnon et sa fille rentrent. Ça m'arrive de continuer à bosser une heure pendant qu'il prépare le dîner. Mais après le dîner, quoi qu’il arrive, l’ordi est fermé et j’arrête de travailler.

En fait, cette dichotomie que j'ai de vie parisienne-vie irlandaise me convient tout à fait. J'aime beaucoup le fait que quand je suis à Paris, je peux être en mode full boulot, et quand je suis ici, j'ai une vie un peu plus normale, avec des horaires un peu plus conventionnels. Ça me va complètement.